Sv40 Injection Arn Covid19
La Contamination par le Virus Simien 40 (SV40) et ses Implications dans les Vaccins
Le virus simien 40 (SV40) est un agent pathogène d’origine simienne associé à plusieurs types de cancers rares chez l’humain. Découvert dans les années 1960, il a été identifié comme un contaminant des vaccins antipoliomyélitiques administrés à environ 98 millions d’Américains entre 1955 et 1963. Cette contamination est survenue en raison de l’utilisation de reins de singes pour cultiver les virus nécessaires à la fabrication de ces vaccins.
Le SV40 et les Vaccins Antipolio : Un Héritage Controversé
En 1960, la chercheuse Bernice Eddy a découvert que des hamsters injectés avec des extraits des vaccins contaminés développaient des tumeurs. Ses résultats, initialement dissimulés par ses supérieurs, ont suscité une vague d’inquiétude scientifique. Des études ultérieures ont confirmé la présence du SV40 dans ces vaccins, mais les autorités sanitaires de l’époque n’ont ni rappelé les stocks contaminés ni alerté le public. Ce n’est qu’en 1961 que les fabricants ont été contraints de filtrer ce virus. Cependant, des millions d’individus avaient déjà été exposés.
Les recherches menées dans les décennies suivantes, notamment celles de Michele Carbone dans les années 1990, ont révélé la présence d’ADN du SV40 dans des tumeurs humaines, y compris dans des mésothéliomes, des cancers osseux et des tumeurs cérébrales. Ces travaux ont montré que le virus pourrait jouer un rôle actif dans la carcinogenèse, soit seul, soit en synergie avec d’autres agents comme l’amiante.
Le SV40 et la Controverse des Vaccins COVID-19
Récemment, des affirmations ont émergé concernant la présence de séquences d’ADN associées au SV40 dans les vaccins à ARNm contre la COVID-19, notamment celui de Pfizer. Ces allégations reposent sur des analyses indépendantes réalisées par des chercheurs tels que Kevin McKernan. Les fragments identifiés incluraient des promoteurs génétiques associés au SV40, qui sont couramment utilisés en biotechnologie pour améliorer l’expression génique. Ces fragments ne constituent pas le virus entier mais soulèvent des interrogations quant à leur rôle potentiel et leur sécurité.
Activation du SV40 par les Rayonnements Électromagnétiques
Une dimension préoccupante concerne les effets des rayonnements électromagnétiques (REM) sur l’activation des séquences virales latentes. Des études ont suggéré que certains rayonnements, tels que ceux des champs électromagnétiques de haute fréquence, pourraient influencer l’expression de gènes viraux dormants, y compris ceux liés au SV40. Bien que les mécanismes précis restent mal compris, cette hypothèse pourrait avoir des implications majeures, notamment dans des environnements saturés de technologies sans fil (wifi,/4g/5g, bluetooth, ecran d’ordinateurs).
Conclusion
L’histoire du SV40 met en lumière les défis de la sécurité vaccinale et les risques potentiels liés à l’utilisation de cultures biologiques dans les vaccins. Les controverses récentes autour des vaccins COVID-19 nécessitent une analyse scientifique rigoureuse pour déterminer l’impact des fragments d’ADN identifiés. Dans ce contexte, les recherches sur les interactions entre le SV40, les facteurs environnementaux et les technologies émergentes, comme les REM, s’avèrent cruciales pour protéger la santé publique.